devenir adepte du changement

Parce que le bon sens n’est pas une pratique courante, nous rencontrons assez régulièrement un phénomène assez simple. Ce qui fait sens n’est pas forcément ce qui est pratiqué. Le plus compliqué alors, ce n’est pas de construire un consensus autour d’une idée, après tout, elle fait sens. Le véritable obstacle réside dans notre manque de volonté à changer. Et les petits changements du quotidien sont une bonne façon de se réconcilier avec le changement.

Comment vivons nous le changement, quelle place prend-il dans nos quotidiens

Le changement nous dérange, notamment parce qu’il nous demande de l’énergie. Il rime avec une certaine part d’inconnu et nous ne pouvons reproduire qu’une partie de nos comportements dans ces situations inconnues. S’en suit une certaine gêne, des malaises, des mal-être, alors comment y remédier ? Surtout quand du changement est nécessaire dans sa structure ? Comment introduire une certaine envie de changement ? En travaillant à la fois sur les temps partagés et les temps individuels. Réintroduire une certaine forme d’inconnu dans le quotidien des gens est une bonne chose pour préparer au changement. Quand cela fait des années que nous sommes « bloqués » dans des routines, il suffit parfois de toutes petites choses pour remettre la machine en marche. Depuis combien de temps vous brossez vous les dents ? Avez vous déjà essayé de changer de main ? Pensez à m’écrire ! Pour me raconter votre premier brossage de sourcils…

L’idée au delà de ça, c’est de se réhabituer pas à pas avec le changement. D’abord des petites pratiques, puis de nouveaux apprentissages. Un peu tous les jours, puis on finit par tolérer de plus en plus d’inconnu. C’est de l’entraînement, comme pour préparer un marathon. Se lancer sans jamais avoir couru depuis des années, c’est compliqué. Si cela fait suite à un entraînement et une préparation conséquente, ça se passe mieux.

Préparez vos équipes au changement, prenons rendez vous !